Page:Le dragon blesse Croisset Francis 1936.djvu/47

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dental, habitués à la rigide lumière moderne. Les petites âmes des veilleuses tremblent dans les globes de couleurs ; des lampes à huile épandent leur douceur lunaire et, dans la brise, des milliers de bougies jettent leurs flammes effrayées.

— Cela ne ressemble à rien, dis-je.

— Cela ressemble, déclare Durec, à un conte des Mille et une Nuits et à la foire de Neuilly.

— Quelle manie ont les Français de tout formuler, murmure le jeune Anglais contrarié.