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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/148

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XIV


Quelques heures après, Caroline était chez Lucien ; assise à son chevet, les deux mains dans les siennes, elle lui parla ainsi :

— Je suis venue, Lucien, parce que je veux vous dire que je serai à vous quand vous le voudrez… Je vais vous donner une preuve de ma confiance et du changement qui s’est opéré en moi depuis que je comprends mon amour. J’étais