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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/29

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II


La comtesse Caroline avait reçu de Dieu une nature élevée, simple et généreuse ; mais le monde et les romans avaient presque entièrement détruit l’œuvre du Créateur.

La campagne, qui aurait dû reposer son âme devenue inquiète, rasséréner son esprit battu par les vents de la vie mondaine, la campagne l’ennuyait. Il lui fallait les bruyants plaisirs de Pa-