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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/54

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V


Quelquefois, le matin, Lucien et Caroline se rencontraient dans le parc ; Lucien saluait respectueusement la comtesse, sans jamais essayer de lui parler ; celle-ci rougissait, inclinait à peine la tête, et passait, lançant au jeune homme des regards courroucés au fond desquels il croyait démêler une certaine bienveillance. Ce qui était certain, c’est que la fière châtelaine n’avait plus