Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/110

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n’y avait personne pour nous surprendre, nous nous mîmes de suite à l’action. C’était le tour de Marie de monter la garde la première. Notre ami se constitua maître des cérémonies. Il me pria de quitter mon pantalon, et Elise d’enlever sa robe et de délacer son corset, car elle ne portait pas encore de pantalon ; il me fit coucher sur le dos, fit agenouiller Elise au-dessus de ma tête, lui disant de se baisser jusqu’à ce que son charmant petit con se trouvât au-dessus de ma bouche, ayant bien relevé ses jupons de dessous et sa chemise sur ses épaules. Je pouvais ainsi chatouiller son clitoris avec ma langue, et elle pouvait abaisser ses fesses tout à fait sur ma figure de sorte que je pouvais enfoncer ma langue dans son con et lécher son foutre quand elle aurait déchargé. En même temps, pendant qu’avec une main je pouvais caresser son cul ferme et rond, je pouvais avec l’autre lui branler le trou du cul et exciter ainsi ses passions d’une manière extraordinaire. J’ai déjà dit combien elle était friande des plaisirs du cul.

Pendant que nous étions ainsi engagés,