Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/126

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quoique plus petite que la mienne, lui faisait le même effet que celle-ci quand je l’enculais et que Marie lui enfilait son doigt dans le con. Nous tirâmes ce coup avec encore plus de volupté et de luxure que précédemment. Elise était tout à fait hystérique, tellement son plaisir fut violent, et nous tombâmes anéantis aux côtés de la pauvre Marie, et nous nous tînmes longtemps enlacés dans les bras les uns des autres. Ce fut ainsi que se termina ce jour-là, notre orgie la plus voluptueuse. Nous nous lavâmes et nous habillâmes. Nous nous quittâmes après avoir échangé de nombreux et bien doux baisers, avec la promesse de renouveler le plus souvent possible ces scènes délicieuses, et, en effet, nous les répétâmes souvent et souvent faisant de temps en temps, pour varier, une visite aux rochers, afin de ne pas trop attirer l’attention sur nous en allant toujours à sa petite maison.

Nos six semaines s’écoulèrent si rapidement, que nous pouvions à peine nous rendre compte comment le temps avait pu passer. Un matin, maman nous informa que