Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/71

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mais, comme je l’ai déjà raconté, je n’avais pas réussi avec elles à cause de l’extraordinaire grosseur de mon instrument. Pensant que puisqu’elles ne pouvaient supporter une pareille insertion, il ne devait y avoir aucune chance de succès avec ma plus jeune sœur moins développée, je n’avais jamais essayé avec Elise d’introduire autre chose que le doigt. Il est vrai que cela paraissait faire sur elle une plus grande impression que sur Marie ou miss Aline. La vue des dimensions extraordinaires de la matière qu’elle avait évacuée, me fit penser que si son petit trou du cul rose, quoique très étroit, laissait sortir une masse aussi large, il pourrait tout aussi bien, sans grand effort, recevoir mon énorme boudin. Je me promis d’essayer le lendemain une initiation de ce côté. Me rappelant que madame Benson avait pour habitude d’être auparavant bien gamahuchée et bien foutue, de manière à ce que la pine soit bien mouillée, je commençai par exciter Elise le plus possible ; je l’enfilai d’abord et la fis décharger deux fois pendant que moi une seulement, puis je la gamahuchai jusqu’à ce qu’elle me