Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/74

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cul en y introduisant mon doigt mouillé, et j’approchai le nœud de ma formidable pine vers le petit orifice qui se trouvait devant moi. La disproportion me parut tellement énorme que même si je réussissais, ce ne serait pas sans de grandes souffrances pour elle, mais me rappelant les dimensions de ce que j’avais vu en sortir, je me mis de suite à l’opération. Je fis entrer tout le gland sans qu’elle bougeât, mais comme je poussai gentiment en avant, ce qui fit entrer environ deux pouces, elle s’écria :

— Arrête un peu, Charles, j’éprouve une sensation étrange. Je ne peux pas la supporter plus avant.

Je m’arrêtai aussitôt, puis, glissant ma main sous elle, j’approchai mon doigt de son clitoris, tenant son derrière fortement serré contre moi avec mon autre bras que j’avais passé autour de sa taille, afin de ne pas perdre de terrain. Mon doigt agile alluma rapidement ses passions et je sentis que son derrière pressait convulsivement ma pine. Je la laissai devenir encore plus excitée, je poussai alors doucement et légèrement en avant et je m’aperçus qu’in-