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sensiblement je gagnais, du terrain. Ma pine était déjà introduite aux deux tiers de sa longueur, quand un mouvement trop brusque de ma part lui fit pousser un cri perçant et j’aurais été démonté si mon bras n’avait pas maintenu son derrière solidement serré contre moi.

— Oh ! Charles chéri, arrête ; ça m’étouffe, ça me procure une sensation si étrange, qu’il me semble que je vais m’évanouir.

— Je vais rester tout à fait tranquille maintenant, ma chère Elise, du reste tout est entré et quand la peine produite par l’insertion sera passée, ce qui va arriver dans une ou deux minutes, nous n’éprouverons plus que du plaisir.

Je maintins donc ma pine où elle se trouvait, mais je redoublai d’agilité en lui branlant le clitoris, ce qui l’amena rapidement à la décharge, car j’étais résolu à ne tenter le dernier effort pour que l’insertion fût complète, que lorsque je sentirais son foutre couler, ce qui arriva très, vite et ce fut son propre mouvement du derrière qui fit enfoncer ma pine jusqu’aux couilles