Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/188

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Tout en parlant, le pasteur faisait aller et venir la peau de la tête de la pine du garçon.

— Est-ce que c’était de cette manière que votre jeune cousine jouait avec ?

— Oui, monsieur, puis elle la prit dans sa bouche.

— Et avez-vous aimé cela ? petit vaurien.

— Oh ! oui, monsieur, cela était délicieux.

— Est-ce que réellement c’est aussi bon que cela ?

— Ah ! Vraiment, c’était tout à fait délicieux. — Alors, il faut que j’essaie si ce sera aussi bon pour moi, empoignez ma pine et frottez-la, et branlez-la comme fit votre cousine, de manière à ce que je puisse me rendre compte de la sensation.

Le cher garçon brûlait d’envie de le faire, mais n’avait pas osé. Il se saisit avec avidité de cette belle pine, qui se trouvait si raide près de lui. C’est à peine s’il pouvait la tenir dans sa main, et il fit aller et venir la peau de la plus délicieuse manière. Le pasteur était ravi.

— Oh ! le vilain garnement qui apprend à son pasteur des choses aussi laides.

— Est-ce que ça ne vous fait pas du bien, monsieur ? demanda le jeune garçon au pasteur dont les fesses répondaient à chaque mouvement de la main.

— Certainement, c’est très bon, je ne l’aurais jamais cru ; mais si jamais je vous vois recommen-