Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/189

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cer, vous pouvez être certain que je vous fouetterai vigoureusement.

Et le pasteur, à chaque coup de branlage, répondait par un autre branlage sur le vit du garçon, jusqu’au moment où une mutuelle et délicieuse décharge fut le résultat de ces jeux lascifs.

— Maintenant, dit le pasteur, habillez-vous et rappelez-vous que vous devez à l’avenir éviter de pareils jeux ou sans cela c’est votre derrière qui paiera.

Le pasteur m’informa qu’il avait l’intention de nous réunir tous les trois sous le prétexte d’inattention simulée et que j’entraînerais le jeune Dale à commettre une faute qui mériterait la fessée. Il fut aussi convenu que j’initierais davantage le jeune homme aux plaisirs secrets que l’on peut prendre avec une satisfaction mutuelle, de manière à le préparer à de plus grandes jouissances pour le pasteur, qui n’aimait rien de mieux que d’« apprendre aux jeunes gens comment on chasse ».

En conséquence, après avoir passé avec ma tante bien-aimée et mon oncle une nuit délicieuse, pendant laquelle nous employâmes toutes les manières de jouir, et où le pasteur s’excitait lui-même en se rappelant et racontant la séance avec le jeune Dale, je les quittai et entrai dans la chambre du jeune homme. Il avait insensiblement rejeté toutes les couvertures, et était couché sur le dos, montrant toute sa boutique, avec son jeune vit affreusement raide et frémissant de temps en temps ; par les mouvements involontaires de son corps et le