Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/190

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sourire de sa figure, on devait supposer que dans son sommeil il réalisait en rêve la scène qui s’était passée entre lui et sa jolie cousine.

Il était charmant à regarder. Sa jeune pine toute raide était délicieusement blanche, on pouvait apercevoir les veines bleues qui la sillonnait, la tête était à moitié décalottée, et une partie de cette tête d’un rouge vermillon faisait un contraste frappant avec la blancheur et les veines bleues de ce membre en érection ; ses couilles n’étaient pas encore complètement développées, mais telles qu’elles étaient, elles formaient une jolie petite poche où se trouvaient des œufs aussi durs que la pierre. Je les caressai doucement, ce qui lui fit remuer le derrière de plaisir. Tout cela était si beau et si excitant que je ne pus m’empêcher de me pencher et de prendre ce joli petit morceau dans ma bouche : pressant entre mes lèvres la délicieuse tête, à sa grande satisfaction, je retirai la peau qui la recouvrait, ce qui lui fit immédiatement soulever les fesses pour rencontrer mes mouvements lascifs et voluptueux.

Il se réveilla à moitié, pensant seulement qu’il réalisait le rêve qu’il était en train de faire. Ses mains se posèrent sur ma tête qu’elles pressaient davantage sur sa ravissante pine que je sentais déjà au fond de ma gorge ; il s’écria dans une extase de délire :

— Oh ! ma chère Ellen, quelle jouissance tu me donnes. Oh ! oh ! c’est plus que je ne puis en supporter.