Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/215

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été bien triste de le voir éloigné de la maison.

Naturellement, ses mains ne restaient pas inactives : déboutonnant d’abord son pantalon, il sortit et lui fit empoigner sa pine qui s’était considérablement développée ; elle lui fit remarquer de suite comme elle était devenue bien plus grosse et se mit à la caresser, pendant ce temps lui était occupé à lui gratter son petit clitoris.

Il s’aperçut qu’elle était déjà toute mouillée et il y avait à peine une minute qu’il la branlait quand elle s’écria en soupirant :

— Oh ! comme tu me fais bien mieux jouir que ma tante ! et elle déchargea copieusement, serrant fiévreusement la pine qu’elle tenait à la main. Quand elle revint à elle, le regardant amoureusement avec des yeux mi-clos, il lui demanda de suite de lui confesser ce qu’elle avait entendu dire par les paroles qui lui étaient échappées dans un moment de plaisir.

— Est-ce que ma mère te fait aussi cela ?

Voilà ce qu’elle lui raconta alors :

— Quand tu fus parti, ta mère me fit coucher avec elle parce qu’elle se sentait toute triste de ton départ. Elle prit l’habitude de m’embrasser très amoureusement et de me presser sur son sein. Comme je me couchais toujours avant elle, je dormais généralement d’un profond sommeil quand elle me rejoignait. Je ne pouvais m’imaginer comment il se faisait que lorsque je me réveillais le matin, ma chemise se trouvait roulée jusque sous mes bras et ta mère était dans le même état, nos