Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/216

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deux corps se touchant et unis dans une étreinte occasionnée par le bras de ta mère autour de ma taille ; même un matin je sentis qu’avec sa main elle avait porté la mienne sur cette partie que tu caresses actuellement si gentiment ; elle dormait dans cette position, mais je sentais parfaitement qu’elle était toute mouillée comme je le suis moi-même maintenant. Je ne pus m’empêcher de penser que c’était très agréable et, retirant doucement ma main de la sienne, je me mis à tâter tous les alentours de cette place qui est, mon cher Henry, toute couverte de poils épais et frisés.

Tout en tâtonnant, je sentis des lèvres épaisses et charnues entre lesquelles j’essayai de mettre mes doigts ; je poussai et je pus les entrer jusqu’aux jointures, quand je sentis sur eux une pression convulsive, en même temps que tout son corps s’élançait vers moi par une secousse de son derrière, se retirait ensuite pour s’élancer à nouveau pendant que ses bras me serraient plus étroitement contre elle ; je l’entendis murmurer dans son sommeil quelques expressions d’amour, je sentis quelque chose de dur contre mon pouce, c’était justement ce que tu chatouilles en ce moment, et elle s’écria :

— Oh ! vas ! vas encore ! vas toujours ! oh ! quelle jouissance !

Ce récit m’avait étrangement excité, je continuai de la branler vigoureusement, je la fis décharger, et lorsqu’elle reprit ses sens, je la posai sur le siège où je me mis à la gamahucher, enfon-