Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/217

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çant ma langue dans ce joli petit con si doux et léchant tout le foutre dont il était couvert. Comme je me relevais, montrant par la fente de ma braguette une pine aussi raide que du fer, elle la prit dans sa bouche, la suça tout doucement et me fit décharger un torrent de foutre que la chère fille avala avec la plus grande volupté.

Nous n’eûmes pas le temps de faire autre chose en ce moment, car j’apercevais la robe de maman à travers le buisson. Je me boutonnai rapidement et nous nous mîmes à flâner comme si rien d’extraordinaire ne s’était passé. Ce ne fut que pendant une autre promenade, alors que les soupçons de maman sur moi furent tout à fait évanouis, que ma chère Ellen put continuer ainsi sa confession.

L’affaire raide qui se pressait contre son pouce était le clitoris de maman, qui, d’après ce que m’a dit Ellen, était prodigieusement développé ; sachant par ce qui s’était passé précédemment avec moi, que c’était l’endroit le plus sensible au plaisir, elle tourna son doigt tout autour et commença à jouer avec elle. Ce fut alors que la grande jouissance réveilla maman, qui, s’apercevant avec surprise de ce qu’Ellen lui faisait, saisit sa main et, la pressant et la frottant avec beaucoup plus d’art contre son clitoris, continua les mouvements avec des exclamations de bonheur, disant qu’Ellen était sa précieuse petite fille et déchargea enfin copieusement sur la main d’Ellen en poussant des cris de volupté.

Après être restée quelque temps sans mouve-