Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/232

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l’air, avec intention, de m’apercevoir que j’étais tout nu.

Elle se pencha et m’embrassa tendrement en disant :

— Mon cher enfant aimé, je suis venue voir si vous n’aviez besoin de rien et je vous ai trouvé tout découvert avec cette « affaire » extraordinaire qui est toute raide.

Elle l’avait prise dans sa main gauche tout en se penchant pour m’embrasser. Je me décidai subitement à jouer avec elle le même jeu qui m’avait réussi avec ma tante.

— Ma chère maman, je n’aurais jamais osé vous parler de « ça », mais cela me fait beaucoup souffrir en devenant si dur, et, ainsi que vous pouvez le sentir, en se gonflant et frissonnant au moindre attouchement. Je ne sais que faire et cela me fait paraître tout drôle, surtout quand vous le pressez doucement comme en ce moment ; chère maman, pouvez-vous m’enseigner comment je puis me guérir, je vous aimerai si tendrement.

Elle se pencha alors et m’embrassa plus lubriquement, enfonçant de suite sa langue dans ma bouche. Je la lui suçai, lui disant que c’était bien doux. Mais ma pine devenait outrageusement impatiente.

Je la suppliai de m’enseigner quelque remède pour me soulager. Elle me regarda longtemps et très attentivement, rougissant ou pâlissant tour à tour.

— Oui, mon cher enfant, je puis te soulager,