Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/233

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mais c’est un secret que je n’ose vraiment pas confier à un enfant aussi jeune.

— Oh ! vous pouvez avoir confiance en moi, vous savez que je suis un jeune homme, et les hommes savent garder un secret, sans cela ils seraient méprisés ; en outre, ma chère maman, vous aimant comme je vous aime, ce serait pour moi une double raison de garder le secret, ce que vous voudrez bien me confier.

— Je veux bien te croire, mon enfant, et tu vas juger de suite, par ce que je vais te faire, combien je me sacrifie tout entière pour te soulager.

En disant cela, elle quitta sa robe de chambre et sauta dans le lit à mon côté.

— Oh ! comme vous êtes gentille, chère maman, dis-je en la prenant dans mes bras et en l’embrassant amoureusement, sentez, chère maman, comme elle est beaucoup plus dure, aussi dites-moi de suite ce qu’il faut faire pour me soulager.

— Eh bien ! mon cher enfant, nous, femmes, nous sommes faites pour détruire les raideurs de ce genre, nous avons une fente pour les mettre dedans et là elles se réduisent petit à petit.

— Oh ! où ! où ! chère maman, dites-le moi ? Elle prit ma main et la porta à son con, qui était déjà tout mouillé du plaisir et de l’excitement qu’elle avait eus.

— Ici, touche cela, ne sens-tu pas une ouverture ?

— Oh ! oui, mais comment vais-je faire pour