Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/246

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
245


obéit de suite, car elle était à ce moment encore plus avide que moi de jouir ; je quittai aussi ma chemise.

Pendant un moment, nous nous embrassâmes mutuellement, nos corps nus, ma pine était aussi dure que du fer ; elle s’en empara pendant que je caressais son con ravissant. Je l’aidai à se mettre au lit ; elle s’étendit de suite sur le dos, ouvrant largement les cuisses, comme elle avait vu faire à maman. Je me penchai et donnait un baiser brûlant à son con encore tout gluant de son foutre mélangé au mien ; je léchai deux ou trois fois son clitoris, ce qui l’enflamma à un degré tel qu’elle n’en avait jamais encore ressenti de pareil.

— Oh ! Viens dans mes bras, mon cher Henry, et faisons ensemble ce qu’ils faisaient et qui paraissait leur faire tant de plaisir.

Elle avait remarqué avec quels ravissements maman jouissait de toi et elle avait aussi remarqué combien ta pine était bien plus grosse que la mienne ; elle avait fait en elle-même ce raisonnement bien naturel : si une aussi énorme donne tant de plaisir à sa tante, la mienne qui est bien plus petite ne pouvait lui faire de mal ; de là son avidité de la posséder.

Je ne la fis pas attendre, mais me jetant entre ses cuisses bien ouvertes, j’approchai vite la tête de ma pine des lèvres avides de son petit con. Je la frottai deux ou trois fois de haut en bas et de bas en haut entre ses lèvres saillantes et à moitié ouvertes, un peu pour les lubrifier et un peu pour