Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/247

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l’exciter davantage ; puis poussant doucement en avant, j’introduisis d’abord la tête que je fis entrer et sortir plusieurs fois, ce qui la fit me supplier de l’enfoncer davantage. J’obéis très doucement jusqu’au moment où je rencontrai un obstacle ; je savais qu’il fallait que je force, ce qui lui ferait du mal ; aussi je continuai simplement d’aller et de venir sans entrer plus loin, ce qui la rendit tellement vorace d’en avoir davantage qu’elle jeta ses jambes sur mon dos et souleva son derrière à la rencontre de mes coups. Je saisis le moment propice, et d’un seul coup très violent, je brisai tous les obstacles et enfonçai ma pine entière au plus profond de son con.

L’attaque et ses effets étaient si inattendus d’Ellen que, lorsqu’elle sentit son pucelage se déchirer, elle poussa un cri de souffrance et fit tous ses efforts pour me déloger. Mais j’étais trop bien enfoncé pour que tous ses efforts n’eussent d’autre effet que de m’enfoncer davantage.

Je restai un certain temps immobile, et quand je vis que sa souffrance était en partie passée, je commençai un mouvement de va-et-vient qui, sans cependant l’exciter, lui fit éprouver une sensation agréable.

J’opérai alors de plus en plus vite jusqu’au moment où la crise me saisit et où je fis jaillir dans elle un torrent de foutre brûlant qui adoucit de suite les parties endolories ; de sorte que lorsque je repris connaissance et que ma pine fut également revenue à sa première vigueur, je sentis par des