Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/27

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la facilité parfaite avec laquelle nous pouvons nous réunir depuis que j’ai changé de chambre, ont chassé quant à présent ces idées de ma tête. Je n’avais demandé à changer de chambre que pour laisser à tes sœurs plus de liberté pour se livrer à leurs plaisirs, certaine que leur excitement ne ferait qu’augmenter tous les jours et que lorsque je les aurais surprises, elles n’auraient fait aucune difficulté pour les partager avec moi.

— Je suppose que vous les auriez enfilées avec ce cher petit objet ? dis-je.

— Oh ! oui, mon amour, mais tu m’as tellement excitée en me parlant de tout cela qu’il faut me foutre de suite.

Nous tirâmes un coup délicieux et quand nous revînmes de la confusion de nos idées dans laquelle nous jette toujours la crise finale, nous reprîmes notre conversation sur le sujet si intéressant de mes sœurs. Je lui fis observer qu’elle ne les avait pas fouettées depuis quelque temps.

— C’est de ta faute ; je suis si satisfaite avec toi que je n’ai plus besoin de soulager mes désirs de cette manière.

— Dites-moi, chère miss Frankland, est-ce que cela vous a beaucoup excitée de fouetter mes sœurs ?

— Tellement que j’ai déchargé ; mais la peur d’aller plus loin avec elles m’avait rendue féroce ; ma grande sévérité provenait de ce que je ne pouvais pas jouir d’elles ensuite, mais si une fois j’étais arrivée à leur faire partager mes plaisirs, je ne