Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/271

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jour, mais surtout parce que les deux enfants étaient mon portrait frappant.

Quand la fille de maman fut grande, elle était une femme superbe. Elle avait un clitoris encore plus gros que celui de Frankland, avec lequel elle prit complètement le pucelage de sa sœur-cousine à l’âge de quatorze ans.

Je dois aussi incidemment faire observer que lorsqu’elles atteignirent quinze ans, je fus le premier homme qui leur introduisit une pine dans le con. Henry et moi nous les foutions souvent de toutes les manières, et ma chère fille m’a souvent enculé avec son long et gros clitoris pendant que moi-même j’enculais sa sœur et qu’Henry enconnait celle qu’il croyait être sa fille.

Mais ce sont là des événements qui ont trait à nos expériences futures et qui n’ont rien à voir avec ceux de la période actuelle de ma vie, je les raconterai quand le moment sera venu avec de plus grands détails.

Chère lectrice ou cher lecteur, pardonnez-moi cette digression. Je reprends donc mon récit où je l’avais laissé quand maman me quitta pour me laisser reposer.

Je dormis profondément pendant une heure, je me levai alors et me promenai avec Henry dans le jardin, où il me raconta comment il avait profité des occupations de maman pour se glisser dans la chambre d’Ellen.

Elle avait encore bien peur de le laisser entrer dans son joli petit minet, mais une fois qu’il fut