Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/272

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tout à fait dedans et qu’elle s’aperçut qu’elle n’éprouvait aucune souffrance, elle devint excessivement lubrique et ils tirèrent ensemble deux magnifiques coups. Ils vinrent alors sans bruit à ma porte pour voir par la serrure ce que nous faisions, et ils furent tellement excités par la scène qu’ils virent, qu’il l’enfila encore une fois par derrière, pendant tout le temps qu’elle regarda, car c’était le moment où j’enfilai maman à genoux en levrette, ce qui devait terminer pour le moment notre séance de jouissance. Ils se séparèrent quand ils eurent fini leur opération par une mutuelle et copieuse décharge et maman trouva Ellen profondément endormie.

— Mais, tonnerre de Dieu ! Charles, dit Henry, c’est merveilleux de la manière dont maman tire son coup, j’envie ta bonne fortune, et je ne serai pas content tant que je ne l’aurai pas foutue moi-même. Comme elle trémousse bien son derrière ! Avec quel bonheur elle se fait foutre ! Assurément, une grosse pine comme la tienne doit enflammer ses passions au dernier point.

Ellen est vraiment stupéfaite d’une pareille grosseur et la vue seule d’un pareil pieu la rend folle de volupté, quoiqu’elle paraisse certaine qu’elle ne pourrait jamais s’enfiler un pareil monstre.

Je souris en pensant comment le beau sexe, même dans l’âge le plus tendre, est capable de nous tromper, mais je ne laissai rien deviner à Henry de mon opinion.

Nous rentrâmes pour dîner et nous passâmes