Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/29

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
30


ter de ce qui pouvait se passer entre Elise et moi et en étant en même temps très réservé sur mes rencontres pendant la nuit avec miss Frankland.

Nous passâmes encore la nuit suivante dans tous les plaisirs que nous pûmes imaginer. Après notre premier profond sommeil, enserrés dans les bras l’un de l’autre, et ma grosse pine engloutie et pressée comme par une vis, je me réveillai le premier, sentant ma pine toute raide dans son con, qui la serrait involontairement dans ses délicieux replis intérieurs. Je me mis à mouvoir doucement jusqu’à ce qu’elle fut si excitée qu’elle se réveilla pour éprouver les ravissements du coup du matin. Nous nous levâmes alors pour satisfaire à nos besoins naturels et rafraîchir nos nerfs par une grande ablution.

Comme nous retournions nous coucher, je remarquai que miss Frankland prit dans son armoire quelque chose plié dans un mouchoir de poche et le plaça sous son oreiller d’un air mystérieux. Je ne dis rien. Après nous être purifiés, nous nous livrions toujours à un mutuel gamahuchage, après quoi miss Frankland me demandait généralement comme faveur de l’enculer. J’aimais trop son délicieux trou du cul pour jamais lui refuser. Elle se plaça comme d’habitude sur ses genoux, les cuisses bien ouvertes, la tête baissée, de manière à présenter le mieux possible son magnifique derrière. Après avoir procédé aux préambules habituels d’introduire deux ou trois fois ma pine dans son con juteux pour bien la lubrifier, je l’introduisis