Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/77

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de se baisser contre un arbre, je relevai ses jupons et chemise par-dessus sa tête et je la foutis par derrière, branlant son clitoris et la faisant décharger en même temps que moi.

Ce fut un coup rapide, mais cependant délicieux, car nous sentions tous deux que nous devions profiter le mieux possible du peu de temps que je devais rester à la maison. Je lui parlais de la remarque qu’avait faite ma tante qu’elle n’avait pas de verges sous la main et il fut convenu que miss Frankland en mettrait sur le rayon de son armoire à laquelle elle laisserait la clef comme par hasard. Comme cette armoire se trouvait dans la chambre où couchaient mon oncle et ma tante, cette dernière, excitée par la curiosité, voudraient certainement voir son contenu.

Ceci répondait à un double but, car miss Frankland s’était arrangée pour mettre quelques bons livres, marqués avec des morceaux de papier aux endroits moraux et pieux, de manière à donner à mon oncle et à ma tante une haute idée de l’honorabilité de son caractère, car assurément ces livres ne devaient servir qu’à ses lectures particulières.

Les verges furent placées et devaient servir d’amorce pour la nuit suivante. Pendant l’après-midi, mon oncle me prit à part et me fit passer un assez sévère examen. J’étais assez studieux, mais étant bien dirigé par l’admirable système d’enseignement de miss Frankland sur la manière remarquable dont elle m’avait préparé. Je m’imaginai, pendant qu’il continuait avec elle la conversation,