Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/85

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et immobiles pendant plus de vingt minutes, mais on pouvait voir, par les frémissements de leurs corps, quelles voluptueuses jouissances ils éprouvaient. Mon oncle se releva le premier, mais pour se baisser aussitôt et lécher avec avidité tout le foutre fumant qui sortait de l’immense ouverture de ma tante. Cela fait, elle se leva aussi et, jetant ses bras autour du cou du pasteur, elle, colla ses lèvres aux siennes et sembla sucer le foutre dont elles étaient encore couvertes. Cela dura quelques minutes. Ma tante alors le fit s’étendre sûr le lit et se mit à lui sucer longuement la pine, toute molle maintenant, mais cependant encore assez grosse. Elle le remercia alors pour la grande satisfaction qu’il lui avait donnée, déclarant que c’était aussi bon que les premières fois de leur union. Puis, après avoir joué et s’être pelotés dans le lit, elle dit qu’ils devaient procéder à une nouvelle flagellation, sur son derrière à elle cette fois-ci, car il lui avait promis de lui donner une double ration.

— Certainement, mon amour, mais tu sais que tu m’as promis que je pourrai choisir le temple où je veux consommer le sacrifice.

— Mon John aimé, tu sais bien que lorsque j’ai été bien foutue par devant, je préfère être enculée, ainsi c’est bien entendu.

L’accord étant parfait, ils se levèrent ; mon oncle s’étant emparé des verges, fit agenouiller ma tante sur le bord du lit, présentant ainsi ses immenses fesses pour être fouettées. Elle se trouvait juste en face de moi, j’avais ainsi devant mes yeux