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son large con excessivement ouvert ainsi que son trou du cul avec une large auréole brune, sur laquelle ses petits poils blonds et frisés faisaient Un effet charmant.

Je n’ai pas besoin de dire que ma pine était dans un état d’excitement extraordinaire et prête à éclater. Mon oncle prit les verges d’une main aussitôt que ma tante fut en position, et, se plaçant de côté, il passa sa main gauche sous son ventre pour lui branler le clitoris, ayant la droite libre pour lui infliger sa punition. Je dois dire que ni l’un ni l’autre ne ménagèrent les verges ; il la fouetta avec fureur, mais elle ne manifesta aucun signe de douleur et ne dit pas un mot. Ma tante commença bientôt à tortiller ses énormes fesses, en indiquant par là combien les verges lui faisaient plaisir. Sa peau, d’une blancheur éclatante, se colora bientôt d’une teinte écarlate amenée par les coups de verges. Plus ses fesses devenaient rouges, plus les mouvements de ses deux demi-globes devenaient palpitants, si bien que mon oncle aussi montra que cette vue stimulait son système, cependant moins facilement excitable, en montrant une pine qui relevait sa tête rouge et enflammée. La main de ma tante se glissa vers elle, et connaissant sans doute ses habitudes, elle déclara qu’elle était aussi prête qu’elle-même. Tournant alors son corps de côté sur le lit, mais toujours sur ses genoux, elle dit au pasteur de s’agenouiller derrière elle ; se baissant d’abord, il lécha le foutre brûlant dont son con était couvert, car elle avait déjà déchargé