Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/217

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excitantes, nous abandonnant Carl et moi à leurs étreintes lubriques, se consolant en se faisant foutre de temps en temps par Henry, quand Carl et moi foutions chacun notre dame. Elle leur disait qu’elle pouvait nous avoir à la maison quand elle voulait et qu’elle devait les laisser profiter de nous pendant les trois mois que Carl devait encore rester avec nous.

Nous nous réunissions trois fois par semaine. Ma femme avait l’habitude d’aller chercher les chères créatures chez elles, et leurs maris étaient tous heureux de cette amitié de ma femme pour elles et n’eurent jamais le moindre soupçon de la raison pour laquelle ma femme les emmenait avec elle.

Quant à nos domestiques, ils savaient que j’avais cet appartement où nous venions luncher quelquefois, mais ils n’auraient jamais pensé que leur maîtresse amenait des femmes pour les faire enfiler par son mari. De sorte que nous continuions notre intrigue avec impunité et en toute sécurité.

Ce fut un moment bien triste pour nous le jour où nous nous séparâmes de notre cher Carl qui ne devait plus revenir en Angleterre. Notre compagnon bien-aimé nous était devenu très attaché ; il partit après un grand nombre d’étreintes passionnées et nous versâmes des pleurs amers sur son départ.

Il alla à Frankfort où son père, qui se retirait dans sa maison de campagne, lui céda son hôtel de première classe, auquel nous descendîmes tou-