Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/242

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elle avait fait du mal à ma pine. Ma mère, furieuse, courut de suite à l’école où habitait la sœur Bridget dans une chambre sur le derrière, la réprimanda vertement, et dans sa fumeur le fit savoir à tout le monde, de sorte que la pauvre femme perdit tous ses élèves et fut réduite à la mendicité.

« Cependant un jeune comte du voisinage qui avait fait tout son possible pour la posséder, lui persuada alors d’accepter sa protection ; elle eut la sagesse de se faire allouer une pension inaliénable, de manière à être à l’abri d’un futur abandon. Quant à moi, je regrettai bientôt la stupidité de ma conduite. Aussitôt que la petite blessure de ma pine fut guérie, mon imagination se rappela le plaisir qu’elle m’avait donné en pelotant et suçant ma pine ainsi que les jouissances spasmodiques qu’elle m’avait fait éprouver dans son con, mais, hélas ! c’était trop tard.

« Cependant je connaissais maintenant le véritable usage de la pine, et nos servantes ainsi que les filles des paysans des environs qui connaissaient mon histoire avec la nonne me donnèrent des encouragements, et je les foutais de partout, dans les champs, derrière les buissons, sous les arbres, dans les écuries ou les greniers, et je m’en payai ainsi pendant tout un an. Mais à la fin je fus surpris par son père, qui m’envoya au collège de Savone. Les collèges en Italie reçoivent les élèves comme le King College de Londres.

« Là, je trouvai un jeune élève ayant seulement