Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/243

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six mois de plus, que moi, le fils d’un ami de ma famille. Je lui racontai mon histoire avec la nonne. Nous avions l’habitude de demander à la même heure à aller aux cabinets d’aisance, mais, afin de ne pas attirer l’attention, nous nous adressions pour cela chacun à un maître différent.

« Nous nous touchions et nous branlions mutuellement la pine jusqu’à la décharge, car à ce moment nous pouvions déjà décharger tous deux ; mais un jour, mon ami me suggéra l’idée de mettre la mienne dans son derrière, comme le lui avait appris un de ses amis dans l’école où il était avant de venir au collège.

« Mon ami était un beau jeune homme, bien potelé, avec des fesses extraordinairement larges et un trou du cul, que la pratique de son ami, dont la pine avait atteint sa complète grosseur, avait tellement élargi, qu’on aurait plutôt dit une vulve qu’un trou du cul. À cette époque ma pine était presque aussi grosse que maintenant, malgré cela elle entra jusqu’aux couilles sans difficulté et je l’enculai avec les plus grandes délices. C’est assez curieux qu’il aimait à être enculé pourvu que je le branlasse pendant ce temps. Cependant il m’encula lui-même plusieurs fois, mais c’était par curiosité, car son plaisir était de se faire branler et enculer en même temps. Cela nous suffit pendant tout le temps que nous restâmes au collège ensemble, et nous n’eûmes jamais le désir d’aller en ville faire des orgies avec les putains, ce qui nous empêcha d’attraper ces horribles maladies dont souf-