Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/44

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— Oh ! ce serait charmant ! faisons-le de suite ! Charles va se retenir un moment pendant, que je vais me glisser sous vous, et pendant que vous me lécherez je pourrai vous exciter et voir le glorieux travail d’une grosse pine au-dessus de moi.

— Vous me tentez beaucoup, ma chère enfant, mais que dirait votre tante si elle apprenait cela ?

— Mais ma tante n’en saura jamais rien, répondit Ellen, tout en s’allongeant déjà sur le lit.

Ma tante se mit sur le côté pour permettre à Ellen de se mettre sous elle ; Ellen pria ma tante de quitter sa chemise afin qu’elle puissent bien sentir leurs deux corps nus ; ma tante n’attendait que cela, cependant elle fit quelques manières pour y consentir. À la fin elle obéit et s’allongeant sur Ellen, elle se jeta avec avidité sur le joli con placé sous ses yeux, et commença à le gamahucher « à mort ». Je repris de suite ma position.

Ellen guida ma pine dans le con brûlant de ma tante, lui branla le clitoris, lui travailla le cul avec son doigt, pendant que ma tante la gamahuchait. Nous arrivâmes bientôt tous à la grande crise avec un excès de luxure difficile à égaler. Nous étions tous un peu anéantis par cette jouissance et comme il était tard nous nous levâmes.

Ma tante me pardonna mon prétendu viol en raison des jouissances que je lui avais fait éprouver. Elle embrassa tendrement Ellen, lui disant qu’elle avait tellement eu de plaisir avec elle, qu’elle espérait bien renouveler bientôt cette petite séance. Prenant alors ma pine dans sa main,