Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/45

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elle l’embrassa, la suça, ce qui la fit de suite bander et dit :

— Je ne m’étonne plus, ma chère, que vous l’aviez désirée après l’avoir vue, et j’envie Mme Dale d’avoir eu le plaisir de jouir la première d’une aussi monstrueuse chose. Si j’avais su qu’il était aussi prodigieusement pourvu, je doute fort d’avoir pu résister à la tentation de lui montrer à s’en servir. Mais ce qui m’étonne surtout c’est que votre jolie fente puisse avaler un pareil monstre.

Ellen se mit à rire, disant que son cousin Henry avait ouvert le chemin, qu’elle ne pensait pas elle-même qu’elle aurait pu me recevoir, mais que je le lui avais introduit si gentiment, et qu’une fois rentrée ma pine remplissait tellement bien de partout sa crevasse, qu’elle aurait beaucoup de chagrin si elle refusait de se l’introduire plus tard.

— Aussi, chère tante, j’espère que vous le laisserez nous la mettre à toutes deux. Je puis vous faire ce que vous venez de me faire, parce que avant que nous possédions Henry et Charles, ma tante et moi nous avions l’habitude de nous amuser de cette manière. Ma tante a un immense clitoris, elle peut le faire pénétrer un peu dans mon con, ce qui me procure toujours beaucoup de plaisir, et elle m’a avoué que je la suçais bien mieux que feu son mari ou qu’une demi-douzaine d’enfants, avec qui elle le faisait quand elle allait encore à l’école : aussi, ma chère tante, permettez-moi de vous le faire pendant que Charles m’en-