Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/46

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filera et vous me le ferez ensuite pendant qu’il vous foutra à votre tour. Pensez seulement comme ce sera charmant !

— Oh ! chère petite putain, tu serais capable de séduire un ange.

Il fut convenu qu’Ellen viendrait pendant la nuit de sa chambre, moi de la mienne, et que nous nous rencontrerions dans le lit de ma tante. Pendant huit jours nous passâmes ensemble des nuits voluptueuses. Je fis voir à ma tante que je pouvais enculer Ellen, ce qui lui faisait éprouver un très grand plaisir et qu’avec raison elle éprouvait aussi les mêmes jouissances. Elle donna son consentement, faisant pour la forme quelques difficultés, et alors elle lâcha la bride à toute sa lubricité. Elle avait une grande passion pour Ellen, elles se gamahuchaient toutes deux « à mort ». Je n’en étais pas fâché, car cela me reposait d’un travail trop excessif.

Au bout de huit jours les absents rentrèrent. Mon oncle et Henry avaient pu tous deux satisfaire leurs désirs. Chacun me fit un récit détaillé des événements, mais comme leurs récits pourraient se répéter, je préfère les raconter sous forme de narration.

« Mon oncle et Mme Dale se trouvaient donc à l’intérieur de la voiture pendant qu’Henry était à l’extérieur. Mon oncle commença par faire l’éloge d’Henry, rappelant l’époque où il fut envoyé pour la première fois au presbytère, ainsi que la lettre que Mme Dale lui avait envoyée : il lui demanda