Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/73

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à la conclusion finale, tombant tous anéantis pendant quelques instants.

Le pasteur se retira alors et nous nous disposâmes à reposer. Nous fûmes réveillés le matin par l’entrée de ma tante et d’Henry. Il courut se jeter dans les bras de sa mère qui était allongée sur Ellen pour la gamahucher pendant qu’Henry la foutait. Ma tante et moi nous étions accouplés suivant la vieille manière ; mon oncle entra pendant que nous étions en pleine opération, et voyant le derrière tentateur d’Henry, sauta derrière lui et l’encula. Quand il eut fini, ma tante se trouva scandalisée d’une attaque dans le derrière d’un garçon, prétendant que ce n’était pas la même chose dans un derrière de femme.

— Eh bien, alors, ma chère, la prochaine fois, monte sur Charles et je t’enculerai pendant qu’il te foutra.

Il appela alors l’attention de madame Dale sur les magnifiques proportions de ma tante, non seulement de son énorme derrière, mais de tout son corps et de tous ses membres.

— Oh ! c’est vraiment superbe, dit-elle, il faut, ma chère madame, que je vous gamahuche. Je n’ai pas oublié les délicieux plaisirs que vous m’avez fait éprouver hier de cette manière.

— Avec plaisir, répondit ma tante, pourvu que pour m’occuper vous me donniez votre énorme clitoris.

— Certainement, cela me convient admirablement ; mais vous devez vous mettre sur moi, de