Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/93

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remerciai et, lui passant un bras autour de la taille, je l’attirai à moi et l’embrassai.

— Halla ! dit-elle, qu’est-ce que ça veut dire ?

Mais elle n’essaya pas de se retirer, aussi, lui donnant un nouveau baiser, je lui dis qu’elle était une magnifique femme et qu’elle m’excitait énormément.

Je tenais une de ses mains et, avant qu’elle pût se douter de ce que j’allais faire, je la plaçai sur ma pine qui pointait au travers de mon pantalon, comme si elle allait le déchirer. Elle ne put s’empêcher de la serrer en s’écriant :

— Seigneur Jésus ! Quelle énorme affaire vous avez !

Sa figure s’enflamma, ses yeux brillèrent du feu de la luxure, elle essaya de la prendre tout à fait.

— Arrête, lui dis-je, je vais te la mettre dans la main dans son état de pure nature.

Je déboutonnai ma braguette et ma pine frémissante sauta hors de mon pantalon ; elle s’en saisit de suite, la regarda amoureusement et la serra gentiment. Elle devenait évidemment de plus en plus excitée, aussi je lui proposai de suite de la foutre ; mais pensant qu’il valait mieux être très franc et la mettre à son aise, je lui dis que je connaissais l’ « accident » qui lui était arrivé, mais que, si elle voulait se laisser enfiler, je lui promettais, sur mon honneur, de ne pas décharger dedans et d’enlever ainsi toute chance de lui faire enfler le ventre.