Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/92

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
77


était aussi puissant presque que celui de ma tante.

Jane était blonde, Anne était brune, avec des cheveux et des poils du cul très noirs, une fente très longue, mais avec un tout petit trou et, au-dessus, un superbe mont de Vénus très prononcé et tout couvert d’une épaisse forêt de poils. Son clitoris était large et raide, mais très court. Elle devint aussi très friande de se faire foutre dans le cul et aimait spécialement à ce que j’y décharge dedans. C’était un peu pour éviter qu’il ne lui arrive un deuxième « accident ».

À son arrivée, Jane eut une très grande peur de voir notre intimité découverte par elle, et nous prenions toutes les précautions, quoiqu’au fond du cœur je désirasse que cela arrive, car, comme elle me servait à l’occasion, j’étais devenu très avide de posséder ses charmes qui, quoique cachés, ne m’en excitaient que davantage. Chaque fois qu’elle entrait seule chez moi, je lui faisais des compliments de son corps superbe ; mais, comme Jane était toujours autour de nous, je m’en tenais aux compliments.

Un matin, j’entendis monsieur Nichols dire à Jane de mettre son chapeau pour aller faire une commission dans Oxford Street. Je me doutais qu’Anne allait alors me servir et, ne courant pas le risque d’être dérangé par Jane, je me déterminai de suite à brusquer le dénouement.

Nous étions devenus de bons amis et quand elle eut apporté à déjeuner je la priai de m’aider à mettre mon habit, ce qu’elle fit avec plaisir ; je la