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Page:Lebey - Sur une route de cyprès, 1904.djvu/102

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L’ennui s’enguirlandait ainsi qu’un espalier.

Catulle, je ne sais où repose ta cendre.
Ce que je dis pour toi, tu ne dois pas l’entendre,
La griffe du Hadès ne lâchant pas sa proie ;
Mais je voudrais penser que je te vaux la joie
Si, par hasard, un peu de toi subsiste ici,
De ne pas regretter le temps de l’aujourd’hui
Et de te faire aimer, loin de leur lendemain,
Les jours où tu vécus, ô citoyen romain !