Page:Leblanc — Contes du soleil et de la pluie, parus dans L’Auto, 1902-1907.djvu/93

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s’ébranla, effectua un virage savant où se reconnaissait l’habileté d’un chauffeur émérite, et s’enfuit à toute allure, me laissant sur place, pétrifié.

Je n’ai jamais revu le prince Metcherski et pas davantage ma 24-chevaux.

Maurice LEBLANC.