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Page:Leblanc - 813, 1910.djvu/411

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“813”
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Il s’approcha de la fenêtre. Dehors, trois hommes venaient de l’extrémité du jardin.

Par la fenêtre de la chambre voisine, qui donnait sur la rue, il en vit deux autres, dehors.

Et il songea à Dieudonné, au Joufflu, à Louis de Malreich surtout, qui devait rôder invisible et formidable.

— Bigre, murmura-t-il, je commence à croire que je suis fichu.