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L’AIGUILLE CREUSE

çut que les trois voyelles du mot Étretat se retrouvaient à la première ligne, dans leur ordre et aux intervalles voulus. Cette première ligne s’établissait dès lors ainsi :

e . a . a . . é t r e t a t . a . .

Quels mots pouvaient précéder Étretat ? Des mots sans doute qui s’appliquaient à la situation de l’Aiguille par rapport au village. Or, l’Aiguille se dressait à gauche, à l’ouest… Il chercha et, se souvenant que les vents d’ouest s’appelaient sur les côtes vents d’aval et que la porte était justement dénommée d’Aval, il inscrivit :

En aval d’Étretat . a . .

La seconde ligne était celle du mot Demoiselles, et, constatant aussitôt, avant ce mot, la série de toutes les voyelles qui composent les mots la chambre des, il nota les deux phrases :

En aval d’Étretat — La chambre des Demoiselles.

Il eut plus de mal pour la troisième ligne, et ce n’est qu’après avoir tâtonné que, se rappelant la situation, non loin de la chambre des Demoiselles, du castel construit à la place du