« Pas vu.
— Elle ne l’avait pas, quelques heures auparavant, quand vous avez accompagné le baron ?
— Pas vu. Qu’en dit-il, lui ?
— Rien. »
Et le commissaire bougonna :
« Bizarre.
— Qu’est-ce qui est bizarre ?
— Des tas de machines. Dites-donc ?
— Quoi ?
— Vous n’avez pas déniché quelque amie d’Élise Masson ?
— Une amie ?
— On m’a parlé d’une demoiselle Armande Dutrec. Vous ne connaissez pas ?
— Connais pas.
— C’est un de mes hommes qui l’a trouvée. Elle a répondu qu’elle avait été déjà interrogée par un type de la police. Je pensais que c’était vous.
— Pas moi… »
Visiblement, la présence de Victor exaspérait Mauléon. À la fin, Victor ne s’éloignant pas, il formula :
« On va me l’amener d’un moment à l’autre.
— Qui ?
— La demoiselle… Tenez, on entend des pas. »
Victor n’avait pas sourcillé. Tout son manège pour empêcher ses collègues de mettre la main sur cette partie de l’affaire allait-il être découvert ? Et Mauléon réussirait-il à entrevoir la personnalité réelle de la dame du Ciné-Balthazar ?
Si Mauléon, lorsque la porte fut poussée, avait épié Victor, au lieu de considérer la jeune femme, tout était