J. E. Stuart. L’éducation des jeunes filles catholiques. — Paris, Perrin[1].
Deuxième causerie.
Pour nous bien connaître nous-mêmes, tâchons de nous rendre compte de ce que nos parents et nos maîtres ont fait en vue de notre éducation. Nous trouverons de précieuses indications à ce sujet dans les notes que nos parents ont rédigées pour nous remémorer nos faits et gestes depuis l’âge le plus tendre.
À défaut de notes de ce genre, reconstituons autant que possible l’œuvre de notre première éducation d’après nos souvenirs personnels et les souvenirs de nos parents.
Les renseignements ci-dessous nous y aideront.
Nous nous en souviendrons quand à notre tour nous aurons des enfants à élever.
a) Pour notre santé : Nos parents nous ont donné une alimentation saine, appropriée à notre tempérament et à notre âge, ils ont veillé à la
- ↑ Celles d’entre nos lectrices qui, sur telle ou telle question d’éducation, seraient désireuses d’obtenir des renseignements bibliographiques plus détaillés peuvent toujours s’adresser à la Ligue de l’Éducation familiale, 14. rue Victor Lefèvre, à Bruxelles.
