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une peau de tigre

les dents venaient de déchirer la blonde de sa robe ; mais il a le droit de savoir aussi pourquoi lord Henry causait à sa jeune femme une telle inquiétude. L’auteur ne veut pas essayer de lui contester ce dernier privilège ; cependant, grâces en soient rendues aux nouvellistes modernes, et surtout à MM. de Balzac et Alphonse Karr, dont il s’honore de suivre l’exemple, il croit pouvoir se dispenser d’être plus clair.