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TROISIÈME PARTIE.
Que dit-elle, grands Dieux !
Cher fils, je vois encor,
Autour de ton cou rose et frêle,
Luire, collier splendide et parure immortelle.
Deux serpents aux écailles d’or.
ÉPÔDE.
Les voici ! Ce sont eux. Ô surprise ! Ô pensées !
Puis, avec un baiser, je posais doucement
L’olivier de Pallas aux feuilles enlacées,
Ô mon fils, sur ton front charmant !
Dieux ! Tout mon cœur frémit d’espérance et de joie !
- Ils s’élancent l’un vers l’autre.
Ma mère !
Mon enfant ! Oh ! viens, que je te voie.
Que je te serre enfin contre mon cœur charmé !