Page:Leconte de Lisle - Derniers Poèmes, 1895.djvu/206

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Ses prêtres renversés sous le couteau mortel ;
Et le ciel, noir du vol des hordes infernales.
Rugir comme la mer aux cris des saturnales,
Et, malgré tant de maux divinement soufferte.
Son saint nom blasphémé par le vieil univers !

Mais, ô Christ, ô lumière et source de la vie,
Relève-toi, c’est l’heure, et la mort te convie !



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