Page:Leconte de Lisle - Derniers Poèmes, 1895.djvu/27

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Qui, versant de vos yeux, en perles irisées,
Aux feuillages berceurs des limpides roséees,
Faites, du souffle pur de vos rires légers,
Sonner la double flûte aux lèvres des bergers ;
Joie et charme des eaux, des près et des collines,
Salut ! Je vous salue, ô Visions divines !