deux, le divin Orestès va combattre. Qu’il soit victorieux !
Ah ! hélas ! Dieux !
Bien ! bien ! va ! — Comment la chose va-t-elle ? Comment ceci s’est-il passé dans la maison ? Si l’action est accomplie, retirons-nous, afin de sembler innocentes. Certes, le combat est terminé.
Malheur à moi ! malheur à moi ! Le maître est mort ! Trois fois malheur à moi ! Aigisthos est mort ! Ouvrez, ouvrez promptement les portes de la chambre de la Reine, retirez les verrous de la chambre des femmes ! Nous avons besoin d’un homme vigoureux, non cependant pour venir en aide à un mort, à quoi bon ? — Malheur ! malheur ! Je crie à des sourds et parle à des endormis. Où est Klytaimnestra ? que fait-elle ? Je pense qu’elle aussi va tomber, près d’Aigisthos, frappée par la vengeance.