Page:Leconte de Lisle - Hésiode.djvu/279

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forêts, et il s’approchait du feu pour y brûler ses défenses amoureuses.






Fragment de la Béronika.


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Et si l’homme qui vit de la mer, et à qui ses filets servent de charrue, demande une pêche abondante et de la prospérité, qu’il offre à cette Déesse, vers l’entrée de la nuit, le poisson sacré qui est nommé le Blanc ; car c’est le plus luisant de tous. Qu’il pose ensuite ses filets, et, de la mer, il les retirera pleins.



fin des idylles