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forêts, et il s’approchait du feu pour y brûler ses défenses
amoureuses.
Et si l’homme qui vit de la mer, et à qui ses filets servent
de charrue, demande une pêche abondante et de la
prospérité, qu’il offre à cette Déesse, vers l’entrée de la
nuit, le poisson sacré qui est nommé le Blanc ; car c’est
le plus luisant de tous. Qu’il pose ensuite ses filets, et,
de la mer, il les retirera pleins.