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ODE I
Je dirais volontiers les Atréides, je chanterais volontiers Kadmos ; mais les cordes de ma lyre ne sonnent qu’Érôs.
Récemment, ayant changé l’écaille de tortue et toutes ses fibres, je chantais les travaux d’Hèraklès ; mais elle ne sonna qu’Érôs.
Adieu donc, ô héros, pour jamais, car les cordes de ma lyre ne sonnent qu’Érôs !