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Encore une torture, encore un battement.
Puis, rien. La fosse s’ouvre, un peu de chair y tombe,
Et l’herbe de l’oubli, cachant bientôt la tombe,
Sur tant de vanité croît éternellement.
Encore une torture, encore un battement.
Puis, rien. La fosse s’ouvre, un peu de chair y tombe,
Et l’herbe de l’oubli, cachant bientôt la tombe,
Sur tant de vanité croît éternellement.