Page:Lefèvre-Deumier - Le Clocher de Saint-Marc, 1825.djvu/107

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St. X.

Aux échos du Lido, etc.

Le Lido est une des îles qui séparent l’Adriatique des Lagunes. Elle n’est occupée que par un petit nombre de demeures, et les tombes beaucoup plus nombreuses îles Juifs. On trouve une description agréable, mais peu fidèle, du Lido, dans le joli roman de Valérie par madame de Krudener.

St. XI.

Elle était belle encor, etc.

Lord Byron, au commencement de son poème du G iaour, compare la Gré ce à une femme qui vient de mourir, et dont la mort n’a pas encore altéré la beauté. J’ai fait allusion à ce passage, sans l’avoir imité.

St. XIV.

Sur ce globe sans air, forcé de demeurer.
Que tu dois être enfin heureux de respirer !

Je me suis rencontré dans ces deux vers avec M. A. Guiraud, mon ami, qui, dans son beau chant sur la mort de Byron, dit à ce poète :

Tu ne respirais pas librement sur la terre.

Il en est d’autres qui présentent les mêmes rapports. Son poème ayant paru avant le mien, j’aurais dû les effacer, mais plus heureux de cette ressemblance, qu’intimidé d’un soupçon de plagiat, je les ai laissés.